Votre source française sur Keira Knightley
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Bienvenue sur Magnificient, votre source française sur l'actrice britannique Keira Knightley. Vous avez pu la découvrir dans Orgueil & Préjugés, Pirates des Caraïbes ou The Imitation Game. Vous la retrouverez prochainement à l'affiche du drame Boston Strangler. Bonne visite. Marine
photo coup de coeur

05 Oct 2020
Marine

Bonsoir à tous,

• Keira s’est engagée auprès de l’association Leave No One Behind (littéralement, « ne laissez personne en arrière ») qui lutte contre la surpopulation des camps de migrants et exerce une pression sur les gouvernements pour qu’ils s’engagent en faveur des réfugiés. Elle a posé sur une photo portant le hashtag de l’association.


Oeuvres Caritatives > Leave No One Behind

• Suite à la sortie de Misbehaviour dans les cinémas belges et luxembourgeois, quelques critiques sont sorties. A cette occasion, je vous propose un extrait de l’Echo, un journal belge, dont vous pouvez retrouver l’article en intégralité ici.

À la fin de cette décennie justement, le Women’s Lib (et son corollaire français le MLF) venait de se lancer. Keira Knightley, une actrice profondément féministe, ne pouvait pas refuser un tel film. Elle joue, ici, une jeune agrégée en Histoire, mère célibataire, qui parvient non sans peine – parce que le jury est exclusivement constitué par des hommes – à être admise comme professeure à l’University College of London. Lorsqu’elle s’aperçoit que sa petite fille copie les attitudes des finalistes à Miss Monde qu’elle voit à la télé, Keira rejoint le mouvement féministe. Car, pour elle, ce concours est sexiste et dégradant pour les femmes. Elle deviendra même la porte-parole du comité anti-Miss Monde.

Le Quotidien, un journal luxembourgeois, a également écrit un article sur le film que vous pouvez lire ici.

En face d’eux, les militantes du WLM, menées par Jo Robinson (la toujours extraordinaire Jessie Buckley) et rejointes par Sally Alexander (Keira Knightley), préparent leur coup pour interrompre la cérémonie. L’arc narratif que le film leur accorde – du moins jusqu’à leur arrivée au concours de Miss Monde – a surtout une valeur historique et appuie le message du film grâce à leurs cris de révolte («Nous ne sommes pas belles, nous ne sommes pas laides, nous sommes en colère!») et leur rêve, toujours inachevé, de mettre à bas le patriarcat. Par leur action, ces héroïnes n’ont pas changé le monde, qui est décidément resté vieux. Elles ne sont pas non plus devenues célèbres, et n’en ont tiré aucun poids politique. Mais elles ont été les premières à s’élever de manière aussi retentissante contre le patriarcat et méritaient au moins qu’on leur rende cet hommage. Misbehaviour est un «feel-good movie» qui brille par son exactitude historique et son engagement, et se place bien au-dessus des autres films historiques britanniques autour de l’histoire du féminisme (Suffragette, Made in Dagenham, pour ne citer qu’eux).

A très bientôt !