Votre source française sur Keira Knightley
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Bienvenue sur Magnificient, votre source française sur l'actrice britannique Keira Knightley. Vous avez pu la découvrir dans Orgueil & Préjugés, Pirates des Caraïbes ou The Imitation Game. Vous la retrouverez prochainement à l'affiche du drame Boston Strangler. Bonne visite. Marine
photo coup de coeur

31 Oct 2015
Marine

Bonjour à tous !

Après la première de Thérèse Raquin, jeudi soir, les médias se sont lâchés et nous offrent des photos et des vidéos de la pièce. Je vous propose tout d’abord des photos de la pièce prises par différents médias.


Représentations Théâtrales > Thérèse Raquin > Sur Scène

Voici également une vidéo de la pièce avec des extraits.

Merci aux gentils commentaires de m’avoir prévenu.
Je vous propose également quelques traductions de critiques. Dans l’ensemble, les avis sont mitigés sur la pièce : certains la trouve trop longue (2h30), d’autres trouvent que les interprétations sont inégales… Mais les critiques sont assez unanimement bonnes sur Keira.

TheaterMania : « Keira est une merveille en tant que Thérèse, faisant des choix prononcés et clairs même si elle parle à peine dans le premier acte. Elle n’en a pas vraiment besoin : elle regarde Laurent comme un tigre affamé regarderait de la viande, et on sait exactement ce qu’elle veut. Quand ces deux-là finissent par se mettre ensemble grâce à un baiser sans fin, c’est l’instant le plus érotique sur la scène de Broadway en ce moment. Cette belle adaptation d’un classique de la littérature française se révèle être un thriller surprise de la saison. »

Vulture : « Knightley, connue pour ses films dont Joue La Comme Beckham et Pirates des Caraïbes, réalise un austère et quelque peu contre-nature début à Broadway. Elle est contrainte et articulée, surtout dans le silence, et apporte à cette histoire morose une qualité enflammée qui illumine toute la pièce dans laquelle elle est. Ce qui est une bonne chose, puisque ce n’est pas vraiment illuminé autre part. »

DC Theater Scenes : « Thérèse se révèle avec douceur, sa posture modeste et étrange, ses sentiments retirés, passifs et détachés. Mais – et c’est là que l’expérience sur grand écran de Knightley la sert vraiment très bien – son expression figée comme de la pierre enregistre le plus petit éclat de sentiment refoulé, mais c’est tout ce dont nous avons besoin pour comprendre par quoi elle passe. Le metteur en scène met en avant le visage expressif de Knightley par des gros plans inspirés du cinéma – c’est une belle façon de mettre Knightley en lumière. »

NJ : « La performance de Knightley, également, est extraordinaire : elle a un regard déconcertant, presque animal et une mâchoire féroce pour jouer l’angoisse de Thérèse et sa capacité sans limite à la duperie. Ses scènes avec Ryan possèdent le même érotisme enflammé que Sam Rockwell et Nina Ariandia dans la pièce « Fool For Love » – ce qui est encore plus impressionnant ici parce que Knightley et Ryan sont prisonniers de l’attirance convenable qu’oblige le XIXème siècle. Rare est la production où tous ces éléments – action, scénario, décors et direction – fonctionnent ensemble pour créer et proposer une vision originale. En voici une. »

Newsday : « La Thérèse de Knightley a le visage morcelé et passif d’un caméo ou d’une femme gelé dans un vieux coin. La regarder observe les autres est révélateur… […] Il y a assez de diversions sanglantes pour un mystérieux très vieux et sournois, assez de scènes humides pour une romance historique moderne et plein de visions de Keira Knightley pour cimenter sa réputation en tant que comédienne sérieuse. »

Exeunt Magazine : « Et Knightley ? Et bien, tandis qu’elle joue un personnage dont la progression consiste à être largement misérable à différents moments, elle le fait avec une intensité puissante et retenue. Ses yeux reflètent vraiment l’horreur de Thérèse tout comme Paris qui envahit la scène, la révélant comme spectateur et prisonnier de sa propre vie. Et sa première rencontre sexuelle avec Laurent, joué par Matt Ryan, est férocement et étonnement efficace. »

Toutes les reviews louent cependant le décor de la pièce, à tel point que plusieurs sous-entendent qu’il pourrait être nominé dans les cérémonies récompensant le théâtre.
Enfin, je vous propose une interview de Keira sur le tapis rouge lors de la première de Thérèse Raquin.

A très bientôt !

30 Oct 2015
Marine

Bonjour à tous !

Hier soir se tenait la première de Thérèse Raquin devant les journalistes et les critiques. Keira a été photographié lors du salut final et pour la première qui se tenait au théâtre. Je ne suis pas très fan de sa tenue, signée Gucci, mais c’est du Keira tout craché et elle la porte plutôt bien.


Apparitions Publiques > 2015 > Première de Thérèse Raquin


Apparitions Publiques > 2015 > Présentation à la presse de Thérèse Raquin

Pour l’occasion, la compagnie de Broadway a publié une vidéo avec des extraits de Thérèse Raquin.

Je vous traduirai des extraits des reviews des critiques sous peu !
A bientôt !

25 Oct 2015
Marine

Bonjour à tous,

Aujourd’hui, je vous propose la traduction des deux derniers articles de Keira pour la promotion de Thérèse Raquin. Je commence par celle du New York Times ou je n’ai traduis que les passages concernant la pièce car l’article fait un rappel sur sa carrière.

Lors d’un récent après-midi sous un ciel artificiellement nuageux, Keira Knightley -celle des pirates et des films d’époque – était encore assise dans un bateau sur un grand plan d’eau. Les hommes se battent pour elle, comme d’habitude, et l’un d’eux ne va pas s’en sortir. Mais Mme Knightley est en train de bailler.

Le canot en question est sûr, encerclé par les murs du Studio 54, ou Mme Knightley tient le rôle principal dans Thérèse Raquin, produit par la Roundabout Theater Company, une histoire d’Emile Zola du XIXème siècle à propos d’amour, de culpabilité et de l’importance critique des leçons de natation.

Bien que la vue d’une super star coincée dans un canot à rames soit bizarre – dans un bassin peu profond conçu par le designer Beowulf Borritt -, peut-être que le détail le plus révélateur est ce bâillement, pendant cette répétition où on l’on perçoit davantage la fatigue que l’ennui.

Mme Knightley, après tout, commence ses débuts à Broadway dès le jeudi 29 octobre, juste 5 mois après un autre début : la naissance de sa petite fille nommée Edie, dont les jouets, les couvertures et les layettes caractérisent sa loge dans le théâtre.
Elle a découvert que la maternité, comme la pièce elle-même, peut être un travail salissant.

« Nous faisons des tours de rôles et je nettoie littéralement la morve du visage de ma fille, raconte Mme Knightley, assise dans un vestiaire orné de Polaroïds parentaux fiers et plus que quelques-uns de Wet Wipes. Et mon mari essaie de changer sa couche pendant qu’elle se roule par terre. » Mme Knightley semble autant enthousiaste qu’intimidée à propos de ces deux nouveautés, parlant en termes similaires à propos du rôle de Thérèse, « C’est noir à tel point qu’ils sont prêts à sauter d’une falaise pour l’enfer » – et l’intensité du nouvel amour d’une mère. « Vous donnez naissance à quelque chose et vous vous dites, automatiquement, « je pourrais mourir pour ça » et vous ne ressentez cela pour aucune autre chose, déclare Knightley, en ajoutant, cette petite chose qui me crie dessus, et il n’y aucune hésitation. Et c’est sombre, profond et très, très, très étrange. »

La pièce – une des deux seules écrites par des femmes à Broadway cette saison – repose sur le talent artistique de l’actrice et sur la réputation de Mme Edmundson en tant qu’interprète d’élite d’un prix littéraire intellectuel. […] Pour une actrice connue pour son habilité à briller et à charmer dans différents accents, « Thérèse Raquin » est un changement d’allure : dans l’imagination de Mme Edmundson, Mme Knightley interprète tragiquement Thérèse sur scène pour presque toute la pièce de deux heures et demi. Et pour les trente première minutes, elle parle à peine, ayant parfois une conversation à sens unique avec une… rivière.

Mais la vie de Thérèse devient vite plus passionnée (grâce à Laurent, un très bel ami de son mari, joué par Matt Ryan) et empoisonnée (Laurent, encore). Selon votre point de vue, le personnage est soit une victime de l’amour ou une folle marginale, avec des oscillations d’humeur violentes que ces deux conditions impliquent. C’est un rôle qui rappelle celui d’Anna Karérine, une autre femme dont la relation extraconjugale avec un autre homme la fait dérailler. « Je suis très intéressée par les gens qui sont emprisonnés d’une certaine manière, déclare Mme Knightley, et je pense qu’il est vrai que très souvent, les gens qui tentent de se libérer de cette cage sont punis pour cela, quelle que soit la cage. »

Mme Knightley fait cette remarque comme elle le fait si souvent : détendue et rapidement, avec un sourire naissant – et le sens de l’effacement – qui marque ses propos. Assise dans un confortable sweat noir, une salopette foncée et des chaussures Day-Glo, elle exprime ses opinions avec une aise déconcertante. Quand on lui demande si elle est extravertie, elle parle de plusieurs sujets avant de parvenir à cette conclusion. « Je ne pense pas que je le suis, dit-elle, et pourtant je dois l’être car c’est ce que je fais pour vivre. » […]

Cependant, le personnage de Thérèse Raquin attendait pour elle apparemment : on lui a offert le rôle deux autres fois dans sa vingtaine, ce qu’elle a refusé car elle admet qu’elle « ne savait pas comme faire ». De plus, dit-elle, elle était en contact avec des personnes qui lui ont expliqué pourquoi elle ferait une bonne Thérèse. « Pourquoi est-ce que les gens continuent à me voir comme cette étrange femme, vaguement psychotique ? » déclare-t-elle. Mais l’année dernière, quand son agent lui a envoyé l’adaptation de Mme Edmundson, elle réalisa que c’était un signe. « Quand c’est revenu vers moi pour la troisième fois j’ai pensé, « c’est bizarre », se rappelle-t-elle. Et je suis toujours terrifiée par ça et je ne sais pas comment m’y prendre, et il y a tant de problèmes. Mais j’ai pris cela comme un challenge. » De plus, elle déclare être ennuyée de ne lire que « des tonnes de scripts avec des personnages qui ne sont que des femmes ou petites amies aimantes. Je suis une femme attentionnée à la maison, je n’ai pas vraiment envie de jouer ça. » Elle a accepté de jouer ce rôle, cependant, avant de savoir qu’elle était enceinte, et son instinct naturel avant de le savoir était d’abandonner le rôle. Mais une panoplie d’amie et de personnes de sa famille l’ont convaincue du contraire. « Ma mère et plusieurs autres féminines très fortes autour de moi me disaient « Comme peux-tu dire ça ? Bien sur que tu ne vas pas abandonner, tu y es attachée, bien sur que tu fais tout », dit Mme Knightley, et je me suis dis « oh bon, d’accord, OK, oui. » Et plus je m’en rapprochais et pensais : « oh ça va être délicat avec peu de sommeil ». Et ça l’a été. »

En fait, elle combat un mauvais rhume alors que la première approche – peut-être à cause de ces profondeurs sur la rivière sur scène – et elle s’est fait une entorse durant une répétition en tombant en avant avec Gabriel Ebert, qui joue son mari cruel Camille. Et, aussi, il y a eu une performance interrompue par un admirateur qui a jeté des fleurs – et a proposé Keira en mariage – depuis l’étage. (Elle n’est pas sortie de son personnage. Ni acceptée.) Les partenaires de Mme Knightley ont loué son habilité à ignorer les distractions comme celle-ci, tout comme l’animosité que le succès de l’actrice semble provoquer chez plusieurs personnes. Judith Light, qui a gagné deux Tony Awards et joue Madame Raquin, la mère française autoritaire dans la pièce, loue le comportement terre-à-terre de Mme Knightley, son intelligence et son sens de l’humour. « Dans une situation comme ça, ça peut aller vers une ou deux solutions, et nous connaissons tous les histoires sur les gens qui vont dans la mauvaise solution, raconte Madame Light. Et ça a été une expérience vraiment glorieuse. »

Mme Knightley dit qu’elle ne prend pas au sérieux les critiques : « je ne dis pas que les mauvaises reviews ou les choses comme ça ne me font pas de mal, parce que c’est le cas, et elle sont écrites pour faire mal, dit-elle, mais je ne les prends pas au sérieux. Tu es en train de dire que tu n’aimes pas quand je joue quelqu’un d’autre ? OK, cool. Je fais beaucoup de films d’époque parce que c’est mon goût personnel, parce que je veux travailler en Europe, parce que c’est ma maison et que c’est ma langue. J’adore l’histoire, vous savez, mais en fait c’est là qu’il y a les personnages les plus intéressants que l’on m’a offerts. Et les personnages modernes ne sont souvent pas aussi profonds. Maintenant, c’est peut-être seulement moi : je pense qu’il y a plein d’actrices qui jouent des rôles très intéressants dans des oeuvres très modernes. Mais ce n’est pas venu vers moi. » Evan Cabnet, le directeur de production, raconte que Mme Knightley a accepté le rôle après une conversation Skype de trois heures. Il déclare que bien qu’il l’a trouvée gracieuse, il dit qu’il aime aussi « ce vrai garçon manqué en elle qui ne la satisfait pas toujours ».

En fait, bien que son personnage le plus connu pourrait avoir plus de chance de dire « attends, attends » ou « Avast ! », Mme Knightley parle dans un vocabulaire bien plus moderne, avec tous les jurons que cela comporte. Une part pourrait être causée par « un manque complet de sommeil » entre les répétitions et les performances qui naviguent entre l’aube et le soir tardivement. M. Righton amène souvent Edie au théâtre, ce qui a un effet apaisant sur le casting selon M. Cabnet. « Il y a quelque chose de si traumatisant émotionnellement à propos de la pièce et de l’histoire, et il y a quelque chose de très beau avec ce petit bébé autour, raconte-t-il. » Pour sa part, Mme Knightley dit qu’elle veut un « instant de frivolité » après avoir joué Thérèse. Mais sans s’attarder sur sa réception à Broadway, son plongeon dans le théâtre – et les rôles sombres – pourrait continuer. « Je pense que c’est en fait la raison pour laquelle j’aime le théâtre : rien ne reste, déclare-t-elle. Ce n’est comme un film où tout est gravé pour toujours. » Elle continue : « Le spectacle que vous voyez le soir, que ça marche ou pas, personne ne verra plus jamais ça. Demain sera toujours différent. Et je trouve ça incroyablement romantique. »

Voici la traduction du second article, pour Vogue réalisé par mes soins. Attention, l’article raconte comment la pièce se termine.

Pour Keira Knightley, son rapport entre la vie et la mort peut être décrit de manière très ironique : d’un côté, elle est une jeune mère (elle et son mari, James Righton, ont eu une petite fille, Edie, en mai) prête à faire ses débuts à Broadway dans Thérèse Raquin au Roundabout Theatre Compagny : d’un autre côté, elle joue une femme adultère dépressive et meurtrière qui se suicide à la fin de la pièce. « C’est un moment de ma vie merveilleux et heureux et je joue… ça, dit-elle en riant et avec son fameux sourire lumineux. C’est bizarre. J’ai dis oui avant de savoir que j’étais enceinte. Et puis il y a eu la question du, « Oh mon Dieu, est-ce que je dois me retirer ? ». Ma mère et une autre amie m’ont dit « Absolument pas ! Tu es une femme qui travaille. Ta fille doit savoir d’où elle vient et c’est une part de toi. Tu t’en tiens à tes plans. » C’est donc ce que j’ai fais. »
Tout comme le personnage principal emprisonné d’Emile Zola dans la nouvelle adaptation faite par Helen Edmundson, sous la direction d’Evan Cabnet, Knightley fait ce qu’on lui dit, se mariant même avec son cousin maladif et narcissique Camille (Gabriel Ebert) sur l’ordre de sa tante (Judith Light). Bientôt, cependant, Thérèse commence une aventure torride avec l’ami de Camille, Laurent (Matt Ryan), réveillant son appétit sexuel trop longtemps réfréné – et sa rage – les menant tous les deux à noyer Camille avant de succomber à la peur, à la haine mutuelle et au double suicide.
Knightley, qui a prouvé qu’elle n’était pas seulement une star de cinéma factice avec des performances terrifiques à Londres dans le Misanthrope et The Children’s Hour, a été demandé dans le rôle de Thérèse quand deux anciennes productions mais avait refusé car, selon ses mots, « cela m’effrayait – le mélodrame est très délicat, et je pense que je ne pouvais pas le faire. » Mais elle est tombée amoureuse des dialogues stylisés musicalement d’Edmundson, de la chance d’explorer les effets de faire son devoir tandis que ses sentiments sont repoussés (« une concoction horrible pour une tragédie et un désastre, vraiment » et de regarder ce qui se passe quand une femme, poussée par le désespour, se comporte comme un animal en cage.
« En tant qu’actrice, elle est si courageuse, intrépide, précise et minutieuse, tout ce dont vous avez besoin pour être capable d’endosser un rôle de cette taille, de cette sévérité et de cette complexité, déclare Cabnet, qui a récemment reçu le sensationnel Gloria-Off Broadway. Keira a rendu Thérèse si profonde et complexe que vous avez réellement pitié d’elle, même dans les moments les plus horribles de l’histoire. C’est une pièce émotionnellement magique. »
« Je suis arrivée à habiter ce monde claustrophobe et à me plonger dans les profondeurs de la misère humaine et de la dépravation, dit Knightley. Et quand j’en émerge, j’ai la plus mignonne petite fille qui m’attend et quand je rentre à la maison, elle me dit « Ba ! ». Je ne peux rien demander de plus. » Knightley est peut-être arrivée à un point agréable de sa vie, ça ne veut pas dire que ça n’influe pas sur son art. « Le manque de sommeil et les hormones sont une chose très intéressante pour voir jusqu’à quel point la psyché féminine peut aller, admet-elle. Et je ne peux pas dire que je n’ai pas utilisé un peu de ces sentiments dérangeants pour comprendre d’où Thérèse venait. Poussée dentaire, colique, être debout pour la cinquième nuit d’affilée – tout ça c’est de la matière à utiliser ! »

A très bientôt !

15 Oct 2015
Marine

Bonsoir à tous,

De nouvelles photos de Thérèse Raquin issue de la pièce sont disponibles dans la galerie. Certaines scènes paraissent très angoissantes et la mise en scène semble très aboutie.


Représentations Théâtrales > Thérèse Raquin > Photos Promotionnelles

A très bientôt !

12 Oct 2015
Marine

Bonjour à tous !

• La photo que Keira a réalisé pour Bijoux de Diamants est disponible dans la galerie. Cette exposition retrace les bijoux dessinés par Coco Chanel et réalisés pour l’occasion. La photo de Keira est exposée dans la cadre de cette exposition qui est basée à Londres. Personnellement je trouve vraiment la photo superbe !


Publicités et Egéries > Chanel > Bijoux de Diamants

Everest réalise toujours un très bon box office avec 159,010,215$ amassés dans le monde. En France, le film reste en tête du classement pour la seconde semaine, enregistrant 559 769 billets vendus, soit 4,246,139$ de recette.

A très bientôt !

07 Oct 2015
Marine

Bonsoir,

Le site Vulture a publié un article sur Thérèse Raquin avec deux nouvelles photos promotionnelles et un petit article que je vous ai traduis.


Représentations Théâtrales > Thérèse Raquin > Photos Promotionnelles

« Allez-y, mère » plaisante Keira Knightley en aidant Judith Light à entrer dans une pièce calme du théâtre du Studio 54. C’est le jour avant le début des répétitions ouvertes au public pour Keira qui fait ses débuts à Broadway dans le rôle principal de Thérèse Raquin, le roman noir de Zola. Light joue la tante de Thérèse. « Elle est si libre, déclare Light à propos de Knightley. Elle interrompait les répétitions pour dire « Attendez, qu’est ce qu’on fait là ? ». Ca donnait aux autres la permission de le faire ça aussi. Elle n’a peur de rien. » Knightley éclate de rire : « Est-ce que je donne cette impression ? »

A très bientôt !